jeudi 31 octobre 2013

Avaries, varient a demi

Et voila, apres 6000 km et des poussieres pedales, 2 couvre-chefs egares sans permission, 2 mitaines droites sautees du bateau avant le velo, une paire de couverts disparue propre, une vis de blocage de rotule du trepied envolee, je quitte mon velo qui lui deplore a peine un rayon casse et une attache-rapide sautee, ainsi qu'Aurelien.
Je m'envole la ou mon t-shirt orange ne portera pas a sourire mais fera se bomber le torse de gentlemen au nez casse, j'abrege le trepas, l'Afrique va etre trop chaude pour pedaler aussi je me resous a y aller en avion. De toutes facons, impossible de quitter cette ile de marins et societes off-shore autrement qu'en avion, que ce soit pour Aurelien, moi ou mon velo, que j'expedie en France avec ses sacoches, je me suis achete ce matin un sac a dos.
Dans quelques heures, un nouveau premier pas : celui de prendre l'aeroplane, suivi d'un deuxieme : franchir l'equateur pour voir le monde d'en bas.

9 commentaires:

  1. Salut les cyclos,
    c'est déjà un bien beau parcours, 6000 km, bravo!
    bonne continuation dans cette aventure palpitante!!
    bécots les loulous
    ju.

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  2. Ouaip, reposez-vous bien, ce ne sont pas les moyens de transports originaux qui manqueront !
    Ici on roule sur des chaises en traversant le monde avec vous...
    SDS et Pierrot

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  3. Salut Stepen,
    Il y a un mec à Nantes, un vendeur de pain, qui en sais plus que les autres... et il ne veut pas nous dire quel est ce fameux pays, sous l'équateur, où les hommes au nez cassé aiment le orange.
    D'autres indices s'il te plait!
    Amélie

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  4. nez cassé, tshirt orange, c'est pas les springbox?

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  5. merci pour le partage de ce voyage.
    Portez vous encore et toujours bien.
    JJ

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  6. On continue à vous suivre avec plaisir, au plaisir
    karine et guillaume

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  7. Ardent admirateur de votre périple c'est avec grand plaisir que je parle de votre blog à qui veut voir une belle aventure humaine. Que vous continuez à pieds, à vélo, à dos de chameau ou en bateau, du moment que vous viviez vote rêve et que l'on continu à rêver avec vous. Même si des fois les difficultés du terrain peuvent entamés la meilleur des volontés, il y a ces moments extraordinaires de rencontres (même avec des chiens bouffeurs de mollets), ces paysages défilants ... et la joie de vivre au jour le jour. Bon vent. Couscous

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  8. Et j'ai oublie le plus important : mon pot a crayons velcrotte au cadre disparu/vole l'avant dernier jour en cappadoce

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