Le 18/09/13 à Baja
Jour 34 - Etape 32 - 97 km
Jour 34 - Etape 32 - 97 km
Ce matin, il fait beau en tout
cas, c'est ce que je vois au travers d'une vitre cassée de l'endroit où nous
squattons et il s'agit bien d'une ancienne étable désaffectée puisque les noms
des vaches y sont encore inscrits et qu'il reste quelques crânes d'ornements, en
plus le toit est en paille. Au loin nous entendons le bruit des voitures et
camions qui passent sur le pont de l'autoroute.
Par contre, une fois le petit déj pris à l'extérieur, le ciel est déjà entrain de se voiler, nous remontons sur la digue et commençons par 1h à 12km/h à rouler sur de l'herbe. Mais ensuite, nous tombons sur une meilleur route qui finira par nous lasser car devenant une nationale avec son lot de camion. Mais ce qui nous gène le plus c'est le vent que nous avons de face, soit de côté. Un petit arrêt sur le bord de la route pour acheter des tomates et prendre de l'eau à une petite dame, le dialogue est sommaire mais chaleureux, nous repartons même avec quelques piments et il s'en est fallu de peu que nous repartions avec 1kg de paprika. Un autre arrêt pour les achats de première nécessité (pain, soupe) et nous tombons sur une fontaine d'eau soufrée, une dame nous fait comprendre qu'elle est bonne à boire mais elle sent pas très bon.
Par contre, une fois le petit déj pris à l'extérieur, le ciel est déjà entrain de se voiler, nous remontons sur la digue et commençons par 1h à 12km/h à rouler sur de l'herbe. Mais ensuite, nous tombons sur une meilleur route qui finira par nous lasser car devenant une nationale avec son lot de camion. Mais ce qui nous gène le plus c'est le vent que nous avons de face, soit de côté. Un petit arrêt sur le bord de la route pour acheter des tomates et prendre de l'eau à une petite dame, le dialogue est sommaire mais chaleureux, nous repartons même avec quelques piments et il s'en est fallu de peu que nous repartions avec 1kg de paprika. Un autre arrêt pour les achats de première nécessité (pain, soupe) et nous tombons sur une fontaine d'eau soufrée, une dame nous fait comprendre qu'elle est bonne à boire mais elle sent pas très bon.
Pause déjeuner à Kalosca, sur un banc
alors que les lycéens sortent en masse des cours, cela doit surprendre 2 gars
entrain de manger des tomates et des noix sur un banc presque en face de
l'église. D'ailleurs on nous prend souvent pour des allemands. Le vent est
toujours présent et fait voler plusieurs fois nos tupperwares.
Nous reprenons la route le vent
c'est atténué, nous croisons berger et troupeaux, meneur de vaches, notre
première charrette et sur les bords de digue certains paysans récoltent
directement le maïs à la main. C'est vraiment une autre époque qui se vit ici.
Plus loin, nous retrouvons du
bitume de bonne qualité, des ouvriers sont entrain de refaire la piste
cyclable. Sur le bord de la digue, nous voyons nos premières roulotte-ruches
colorées. Nous trouverons de l'eau chez des personnes qui nous donnerons en
plus des noix et pour la nuit, nous squattons une jolie petite maison de
vacances en bord du Danube. Le vent tombe, au loin nous entendons, les cerfs
bramer de leurs sons rauque et les péniches passer.
Mais où êtes-vous? Cela fait plusieurs jours que la carte de l'itinéraire est bloquée à Belgrade... Vous ne tournez pas en rond quand même? Il vous reste quelques bornes à faire les amis :-)
RépondreSupprimerAllez! soyez sympa, une p'tite mise à jour... pour ceux qui ne voyage qu'à travers ce blog en ce moment.
pareil que Patrick.....
RépondreSupprimerRoro